Ziel der Freunde von Dirk Frankreich (ASAC)
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Réflexions – Témoignages – Historique
Novembre 1999
L’objectif que nous nous sommes donnés il y a quinze ans est toujours le même : faire connaître les découvertes du Docteur R.G. HAMER, reconnues maintenant sous le nom de MEDECINE NOUVELLE®. Il s’agit d’une science rigoureuse, complexe. Il faut l’apprendre, acquérir l’expérience, et avoir les qualités requises. La connaissance s’enrichit de l’expérience personnelle et collective.
Le 7 décembre 1983, le Dr Hamer a proposé au Président de la Cancérologie française de se rendre à son symposium du 17 décembre, pour s’y expliquer sur sa recherche. Cela lui fut refusé catégoriquement et en termes méprisants. Pourquoi ?
On comprend mieux le pourquoi, quand on sait qu’en 1984 et 1985, l’ARC Villejuif s’est employé - grâce aux fonds collectés – à réaliser une banque des données informatisées, permettant aux médecins d’obtenir sur leur minitel, une réponse standard à toutes les questions concernant les cancers, à partir des manuels de la cancérologie réalisés par les douze professeurs cancérologues. Lors de l’inauguration de cette banque, une exposition médiatisée fut installée sous chapiteau au Champ de Mars. Ma première surprise en la visitant a été de découvrir au centre de l’exposition, un monument, une stèle en l’honneur de Jean Monet, fondateur du marché commun. Pourquoi ? La réponse, je l’ai découverte en visitant l’exposition ordonnée de manière à mettre en valeur le marché européen de la chimiothérapie. Des téléphones permettaient au public de poser des questions en appuyant sur une touche, par exemple, « cancer du foie », pour recevoir une réponse standard.
Je me souviens que cela m’avait plongé dans une profonde angoisse. La personne malade n’existait plus. Ce n’était plus une personne malade qui devait guérir de sa maladie. Ce qui comptait c’était des cellules, des molécules, des virus, microbes, gènes, sans que l’on puisse découvrir le moindre sens à la vie. La secrétaire générale de l’Arc m’a confirmé qu’aucune des quarante mille données de cette banque ne mentionnait une seule fois les mots « psychisme et cerveau ».
Quelques années plus tard, le psychiatre connu Tony Lainé confiait à un journaliste sa tristesse de voir disparaître, dans nos sociétés américanisées, jusqu’à la notion même de psychisme. Il s’était beaucoup investi du côté médico, psycho, pédagogique, de l’enseignement, et avait fondé un restaurant où étaient employés de jeunes handicapés mentaux. Il est mort peu après que je lui ai porté le livre « LEGS – fondement d’une Médecine Nouvelle » du Dr Hamer, en lui disant que le psychisme allait revenir par la grande porte, là où on l’attendait le moins : les cancers.
Le Code de la Santé Publique, invoqué pour citer Madame Andrée SIXT à comparaître devant le Tribunal correctionnel de CHAMBERY pour exercice illégal de la médecine et non assistance à personne en danger, ignore cette révolution de la science qu’est la Médecine Nouvelle® du Dr Hamer.
En 1989, le Doyen de la Faculté de Médecine de Dusseldorf, le professeur Pfister, cythologue et histologue connu, disait de la Médecine Nouvelle qu’il avait vérifiée dans le cadre de son activité professionnelle, « quelle mettait sans dessus dessous la médecine toute entière ». A l’évidence, il faut aujourd’hui un code de la Santé nouveau.
Compte tenu que la Médecine Nouvelle® ne peut plus être contestée scientifiquement, et personne ne s’est hasardé à le faire depuis vingt ans, et de ce qu’elle apporte de radicalement nouveau, le code de la Santé publique ne peut plus être invoqué, au risque de mettre en danger ce qu’elle prétend défendre.
Une médecine est-elle légalement acceptable lorsqu’elle n’est plus en conformité avec la vérité scientifique, et lorsqu’elle met une personne en danger ?
En 1988, conscients de cette réalité, nous avons remis au Ministre des Affaires Sociales et de la Santé, porte-parole du Gouvernement une pétition portant notamment la signature de soixante-dix médecins Elle demandait la protection du Dr Hamer dont la vie était gravement menacée, et une vérification par l’INSERM. Cette pétition a servi à sauver le Dr Hamer, d’une psychiatrisation. Notre démarche a permis que sa recherche se poursuive jusqu’à ce jour et soit l’objet de différentes vérifications, dont les plus importantes :
1988 - VIENNE par le Professeur BIRKMAYER
1992 – DUSSELDORF par le Professeur STELMAN
1998 – L’UNIVERSITE DE TRNAVA – Bratislava – Slovaquie (Prof.Kromery, Prof.Pogady, Prof. Miklosko)
Sans omettre tout le travail effectué au centre de Médecine Nouvelle® de BURGAU (Autriche), qui a permis de tester ces découvertes. (cf . déclaration Dr Hamer : les six mille cinq cent adresses de patients saisies au moment de la perquisition à ce centre ont permis de constater que plus de six mille personnes étaient encore en vie après quatre ou cinq ans, soit plus de 90%.)
Cependant l’Ordre des Médecins s’est opposé à une vérification par l’INSERM. Le Président de l’Association (M. Antoine D’ONCIEU) a alors demandé une entrevue avec le Premier Ministre en Mars 1989.
Mais elle n’a pas eu lieu, comme fut empêchée en 1996 l’entrevue de Madame Andrée SIXT au Ministère de la Santé obtenue pour le 20 septembre.
En 1991, M. Antoine d’ONCIEU, a réitéré, sans succès, une demande d’être entendu par les responsables gouvernementaux. Il y a eu enquête au sein de l’ASAC. Le procureur de l’époque M. Eric DE MONGOLFIER, n’a pas jugé bon de poursuivre, car il n’y avait rien de répréhensible dans l’action que menaient l’association et ses membres.
Je me suis rendu, au début des années1990 au Centre de documentation de l’INSERM et avec l’aide de la documentaliste, j’ai pu constater qu’il n’y avait jamais eu de recherches se rapprochant un tant soit peu de celle du Dr Hamer, dont le nom même était totalement inconnu, alors que fonctionnait à l’INSERM une commission franco-allemande.
En 1989, j’ai interrogé par lettre un Médecin chercheur de l’INSERM exerçant à la Pitié Salpétrière à Paris, sur les découvertes du Dr Hamer. J’ai reçu la réponse suivante : « J’ai le regret de vous informer que les découvertes du Dr Hamer ont été vérifiées non reproductibles ».
J’en ai informé le président de l’association qui m’a dit qu’il avait assisté à une séance du Tribunal d’instance de Siegmaringen, au cours de laquelle le juge a interrogé à ce sujet le doyen de la Faculté de Tübingen. Pourquoi avait-il refusé de vérifier la thèse du Dr Hamer ? pourquoi les deux cent dossiers qui accompagnaient sa thèse avaient-ils disparus, et pourquoi avait-il diffusé à la communauté scientifique un communiqué mensonger affirmant que la thèse du Dr Hamer avait été vérifiée « non reproductible » ? Il a répondu de manière évasive en disant qu’il ne savait pas, que cette thèse n’avait aucun intérêt.
Que pouvions nous faire ?
Le 14 octobre 1996, j’ai assisté à la cité des Sciences à Paris à un débat sur le thème : « Qui décide de notre Santé ? »
Face au Directeur de l’INSERM, M. Philippe LAZAR, qui affirmait que la santé résultait de l’ensemble des recherches et découvertes dans le Monde entier, l’ancien Ministre de la Santé, Monsieur Claude EVIN, a martelé avec force, qu’un Ministre n’a aucun pouvoir face à l’industrie chimique et pharmaceutique. Et tout le public avait la même opinion.
C’est aussi la conclusion du rapport officiel, remis au gouvernement par le professeur psychiatre Edouard Zarifian (avril 1996) sur la prescription des psychotropes.
C’est aussi ce qui résulte de la lecture des comptes rendus des séances du Parlement Européen des 14 et 17 novembre 1994 à Strasbourg, sur les programmes de la recherche européenne en bio-médecine. Il y a été recommandé de donner la priorité aux recherches susceptibles d’apporter une plus value importante à la grande industrie sur le marché européen des quinze qui représente trois millions de lits, un million d’infirmiers, huit cent mille médecins et six millions d’emplois = 7,5 % du P.I.B.
Dans cet environnement économique, politique, nous pouvons comprendre que la Médecine Nouvelle dérange.
La découverte du Dr Hamer dérange tellement, que certaines guérisons, survenant grâce à la Médecine Nouvelle® ont conduit un professeur à écrire un livre intitulé : « Cancer : la magie et la raison », où il cite un cas en laissant le lecteur penser qu’on peut guérir d’un cancer par magie ! En 1995, ce même professeur écrit dans l’encyclopédie : les cancers de A à Z : « que les découvertes du Dr Hamer ne sont pas prouvées et dangereuses parce que susceptibles de détourner les malades des traitements pouvant les guérir ».
Il a fallu attendre le 22 octobre 1998, pour que se réunisse pour la première fois, le Conseil National de la Science, dont nous savons seulement qu’il a recommandé de donner la priorité à la recherche fondamentale et sur le Vivant.
Ce qui fut l’orientation donnée à la libération par Paul Langevin, mais, elle fut rapidement abandonnée sous la pression du marché, de la logique marchande, qui a conduit non seulement à la recherche bio moléculaire tous azimuts, mais aussi à « une marchandisation du corps humain » et de l’homme », aliéné par des savoirs qui lui échappent totalement, lui sont inaccessibles, et par les pouvoirs commerciaux qui en sont les maîtres.
La Médecine Nouvelle® du Dr Hamer, en ouvrant à chacun la compréhension de sa maladie, quant à sa nature, sa cause, à la fois psychique, cérébrale et organique, lui permet de s’approprier les savoirs pour gérer sa vie, pour éduquer ses enfants, pour la solidarité et la fraternité, pour l’intervention citoyenne. Ce progrès de la connaissance que représente la Médecine Nouvelle, ouvre sur une nouvelle culture. Elle est une chance au moment où de terribles menaces pèsent sur la survie de l’humanité.(cf. le livre récent de Féderico Mayor : « un Monde Nouveau »).
L’urgence aujourd’hui, ce n’est pas le Code de la Santé Publique conçu en fonction d’une médecine ancienne, remise en question par les progrès de la science, mais c’est la création d’une Commission Parlementaire sur la recherche bio médicale, c’est un observatoire démocratique des sciences de la vie, c’est une représentation démocratique dans les institutions de la recherche scientifique bio médicale, c’est la transparence de la science, la confrontation pluraliste, la liberté de l’information, l’éthique, les droits et libertés.
Le Comité Consultatif National d’éthique nous a donné raison lorsqu’il a affirmé le principe :
« LA RETENTION DES SAVOIRS EST INACCEPTABLE ET INACCEPTEE » - (14.12.1994 – Jean Pierre CHANGEUX – La documentation Française.)
« Si l’argent, dont certains pensent qu’il est déjà plus fort que la politique est aussi plus fort que la Vérité scientifique, notre civilisation n’a plus qu’à hisser le voile noir. ». (Lucien SEVE, rapporteur – 14.12.1994).
Par ailleurs, nous avons relevé dans les écrits du Professeur Jean Bernard, Président d’honneur du Comité National d’éthique, ces affirmations qui nous confortent :
« Toute découverte doit, par principe, être accueillie avec bienveillance, en veillant à ce que soient respectés tout l’homme et tout dans l’homme ainsi que sa liberté. Il est dit aussi que la Médecine doit être une en se conformant à la règle : EST VRAI CE QUI EST VERIFIABLE. »
Trop souvent on affirme comme scientifique ce qui n’est que simple hypothèse. Elle tire sa force de vérité de la notoriété de celui qui affirme et de l’impact médiatique. Ceux qui contrôlent l’information médiatique étant les bénéficiaires du point de vue commercial de cette information-marketing, qui aliène les hommes, conditionne les peuples, et dépossède les personnes de leur identité, de leur responsabilité. La Médecine Nouvelle, c’est tout le contraire, et elle nous arrive comme une chance, un trésor.
Notre prochain, notre frère, ce n’est pas seulement l’homme d’aujourd’hui. Ce sont aussi nos enfants, petits enfants, au-delà des frontières et dans l’avenir. Ils auront besoin des savoirs que nous découvrons actuellement, et que nous devons leur transmettre.
Cela fonde notre responsabilité, nos droits et devoirs de dire la vérité quoiqu’il en coûte, et malgré les menaces d’emprisonnement de la part de ceux qui ne savent pas ce qu’ils font.
Jacques Prévert a écrit dans « spectacles » en 1949 : «Quand la vérité n’est pas libre, la liberté n’est pas vraie : les vérités de la police sont les vérités d’aujourd’hui. ».
J’ai découvert la pertinence de ce propos, lorsque j’ai été interrogé pendant trois heures par la gendarmerie de CHAMBERY, qui dans le cadre de l’instruction du procès de Madame Andrée SIXT, et à partir d’écoutes téléphoniques, a été fouillé dans mes dossiers médicaux et ordonnances à ma caisse de sécurité sociale à Montreuil.
J’en ai été malade pendant plusieurs mois, et n’ai réussi à m’en rétablir, que l’orque j’ai réalisé que ce procès sera de toutes façons aussi un moyen de faire progresser la Médecine Nouvelle®. Les gendarmes qui ont écouté les quarante cassettes d’écoutes téléphoniques ne peuvent ignorer la Médecine Nouvelle®, et nul doute qui si l’un des leurs est atteint d’un cancer, il viendra se renseigner sur cette chance nouvelle de guérir !
Et personne ne le refusera, car il est inscrit dans l’article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, le droit de transmettre les savoirs par quelque moyen que ce soit.
Dans l’histoire de l’humanité, il n’est pas d’exemple qu’une vérité scientifique soit interdite et ignorée comme ont tenté de le faire les pouvoirs de la Médecine officielle, depuis 20 ans.
Malgré tous les codes édictés « ex magistrat », nous savons que la terre tourne autour du soleil et non le contraire, et nous continuerons à dire la vérité quoiqu’il en coûte, car c’est la bonne justice à laquelle l’humanité souffrante a droit aujourd’hui.
Les Etat Généraux de la Santé n’ont rien fait avancer parce qu’il a été interdit d’y poser les problèmes essentiels qui sont du ressort de la science fondamentale.
L’avenir de la Médecine, c’est la génétique, affirmait il y a un an un prix Nobel de chimie dans la revue de la Mutuelle Générale de l’Education Nationale et des personnels de la Recherche. On déchante déjà.
Le biologiste et philosophe Henri ATLAN, membre du Comité consultatif national d’éthique, vient de publier un livre intitulé « la fin du « tout génétique » ? Vers de nouveaux paradigmes en biologie »
(INRA Editions). Il montre en quoi le « déterminisme génétique » a fait son temps.
Les juges de CHAMBERY, s’ils ne savent pas que la médecine d’école actuelle est remise en question par le progrès de la science que nous devons à la recherche du Docteur Hamer, accepteront-ils de considérer, qu’en la circonstance, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et les règles d’éthique doivent l’emporter sur les articles du code de la santé et l’interprétation qu’en donne l’Ordre des Médecins ?
Puissions-nous leur inspirer quelques doutes, ce qui est le fondement de toute démarche scientifique et de la justice.
Le Code de la Santé réserve les savoirs, le diagnostic, à des professionnels exerçant dans le cadre d’un Ordre médical qui exclut la confrontation pluraliste, la critique, échappe à tout contrôle démocratique, et dans le cadre d’une médecine qui exclut un facteur biologique essentiel : le psycho-cérébral, sans que nul ne puisse s’expliquer sur cette exclusion, la justifier. Les professionnels deviennent ainsi juge et partie exclusifs, à un moment où s’affirme de plus en plus la relativité de la science, et où des problèmes nouveaux apparaissent.
Lors d’un débat public à Paris en décembre 1998, le professeur de Neurologie à L’institut Pasteur, Jean Pierre CHANGEUX, qui était encore le Président du Comité Consultatif national d’éthique, a fait état de la situation et des problèmes posés par la découverte de corrélations biologiques à 100% entre les tissus au cerveau et les comportements humains. Le Président de la fédération syndicale mondiale des travailleurs scientifique a évoqué les problèmes posés par de nombreux progrès de la science, a dit, que plutôt qu’une suspicion, une surveillance généralisée, il préférait la solution d’une appropriation par le plus grand nombre, des savoirs et des enjeux, faisant des citoyens critiques et connaisseurs les meilleurs gardiens de l’éthique, en hommes avertis.
Ce soucis du partage des savoirs par le plus grand nombre, et donc d’une diffusion des connaissances en utilisant les moyens de communication modernes pour l’éducation personnelle de chacun à l’échelle mondiale, traverse tout l’ouvrage de Fédérico Mayor : « Un monde Nouveau ». Cet homme qui avant d’être Directeur général de l’UNESCO fut chercheur biologiste, recteur d’Académie, Ministre de la Recherche et de l’Education.
Il considère cela comme une des chances de survie de l’humanité.
Nous pouvons imaginer tout ce que le mouvement associatif rassemblé autour de la science pourrait faire en tirant la leçon de ce qu’à réalisé l’Association Amis de Dirk-ASAC de Chambéry, et de ce qui aurait pu être fait si professeurs et médecins avaient pu y être associés.
Toute décision prise, uniquement en fonction du code pénal, sans tenir compte des découvertes scientifiques nouvelles, ne fera que discréditer l’autorité, la responsabilité démocratique, et sera inopérante.
Je me souviens de cet homme d’affaire, grec, atteint d’un cancer au poumon, et condamné par la médecine d’école, qui a survécu, parce que chaque fois qu’il téléphonait à mon frère Antoine (Fondateur de l’association Amis de Dirk-ASAC), celui-ci l’apaisait, en lui expliquant son cas à partir des lois biologiques de la nature® découvertes par le Dr Hamer, qu’il était guéri, et à lui ôter la peur de mourir que lui transmettaient les médecins qu’il consultait aux USA et ailleurs.
Mon frère a-t-il enfreint le Code de la Santé en expliquant à cet homme que son cancer résultait d’une peur de mourir et n’est-ce pas inacceptable de la part des autorités médicales de refuser d’examiner et de prendre en compte des découvertes scientifiques essentielles, fondamentales et prouvées, au lieu de faire des pronostics désespérants ? Alors qu’il serait possible d’ouvrir avec des professeurs et des médecins un Centre de Médecine Nouvelle®, pour la formation et la mise en œuvre de la Médecine Nouvelle® devenue incontournable.